Effets du changement climatique sur l’eau potable et les canalisations.
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Température, bactéries et canalisations d’eau
Les lacs et rivières voient la température moyenne des eaux de surface et des eaux profondes augmenter. Cette augmentation modifie l’équilibre chimique et biologique de l’eau
Les effets du dérèglement climatique ont de multiples conséquences : sécheresse, qualité de l’eau, impact sur la production d’eau potable et une eau qui s’évapore davantage. L’augmentation de la température des eaux favorise aussi le développement de germes et de bactéries.
L’usine de production d’eau potable doit éliminer par la désinfection la plus grande partie des germes pathogènes présents dans l’eau première et assurer la sécurité sanitaire du transport de l’eau dans des canalisations à l’étanchéité douteuse. La qualité du réseau d’eau s’est fortement dégradée en France, un milliard de mètres cubes de fuite est enregistré chaque année. 35% de l’eau traitée n’arrive jamais jusqu’aux logements, la cause : la corrosion.
Pour préserver nos ressources en eau potable, il est important d’éviter le gaspillage et la surconsommation, donc chasser la corrosion est indispensable pour éviter les fuites d’eau en mettant en place une prévention anti concrétion calcaire sur le réseau d’eau chaude ou froide menant aux appartements.
La corrosion par développement de micro-organismes ne peut intervenir qu’en cas de stagnation prolongée de l’eau dans le réseau.
La conservation de la qualité de l’eau est facilitée par une réduction du temps
de séjour dans le réseau, l’écoulement de l’eau limite la croissance bactérienne
par un effet d’arrachage du biofilm.
Le temps de séjour moyen dans le réseau peut être de l’ordre de quelques heures
à plusieurs jours dans certaines zones du réseau où l’écoulement est faible.
Dès que la vitesse de l’eau est fortement ralentie, des problèmes de stagnation
dynamisent le développement de micro-organismes (favoriser par la concrétion
des eaux calcaires), et l’apparition de corrosion.
La biomasse se fixe sur les parois des canalisations, elle constitue un support
pour le développement de couches supérieures actives qui dans des conditions de montée en température dans les canalisations, favorise le développement d’un biofilm (micro-organismes agglomérés sur une surface). Les bactéries s’y développent et conduisent à des perforations des canalisations, nuisibles à la qualité de l’eau. Le pH et la minéralisation de l’eau sont importants pour le contrôle de la corrosion et des pollutions qui en découlent.
Le taux de substances rejeté par les canalisations corrodées peut augmenter
rapidement et dépasser les limites de concentration tolérées par les autorités de régulation.
Une eau plus chaude, c’est aussi une eau dont la qualité diminue, puisqu’elle devient un terrain de jeu propice aux bactéries et microbes. Des canalisations naissent un certain nombre d’interactions physicochimiques et biologiques. Désinfection des eaux, ne veut pas dire stérilisation lors du transport par le réseau.
Ces bactéries réapparaissent avec le transport, la température, les nutriments et les concrétions calcaires : le logement idéal pour la prolifération des bactéries.
La température des eaux peut varier de plusieurs degrés pendant son transport, 4 à 8°C d’une extrémité à l’autre du réseau. Les températures saisonnières peuvent également les affecter, l’activité bactérienne s’accroît nettement lorsque la température dépasse 15°.
Obligation de surveillance
La personne publique ou privée est tenue de surveiller en permanence
la qualité des eaux destinées à la consommation humaine
en fonction des risques que peuvent présenter les installations.
La prévention passe par un bon entretien des réseaux d’eau et d’une bonne
gestion des systèmes de distribution d’eau chaude sanitaire.
Les installations de distribution d’eau doivent être entretenues de manière à empêcher l’introduction ou l’accumulation de micro-organismes, de parasites constituant un danger potentiel pour la santé des personnes ou susceptibles d’être à l’origine d’une dégradation de la qualité de l’eau destinée à la consommation humaine distribuée notamment dans les réseaux collectifs.
L’action de la température et son augmentation accélère la prolifération des bactéries, même si le risque 0 n’existe pas il est indispensable d’entretenir et de protéger votre réseau d’eau collectif du calcaire.
Afin d’éviter une multiplication des postes et des coûts, Techliquid vous rappelle qu’il est possible d’utiliser efficacement une protection anti calcaire Techliquid sur l’eau froide générale (EFG).
Le procédé Techliquid sans modification de la composition chimique de l’eau assure une protection sur l’ensemble du réseau de canalisation d’eau des immeubles d’habitat collectif équipés en chaudières individuelles et permet de traiter à la fois le réseau eau chaude et le réseau eau froide neuf ou ancien.
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